« Oui, je recommande ces métiers aux étudiants ... »

Shanice Mambueni est étudiante en Licence 3 LEA* à l'université de Lille 3 Charles-de-Gaulle. Originaire de Hem, elle effectue son stage au C.F.T qui est un Centre de Formation en Télémarketing. Ce stage d’une durée de deux mois lui permettra de valider son année. 

Pourquoi avoir choisi un stage dans les métiers du télémarketing ? Pendant ma formation en LEA, j'ai reçu des cours en marketing qui m'ont fortement intéressée mais comme ce n'était pas une formation axée sur le commercial, je ressentais le besoin d'effectuer un stage en relation client à distance. 

Avais-tu des a-priori sur le métier avant de faire ton stage au C.F.T ?

"Oui ! J'avais une mauvaise image du télémarketing que je voyais comme dérangeant et synonyme de perte de temps. A ma grande surprise, ce sont des métiers dynamiques et faciles à pratiquer. J'’en suis la preuve vivante ! Une formation courte avec Romuald, co-fondateur et formateur au C.F.T, une mise en pratique directe et me voilà avec mon premier rendez-vous qualifié B to B décroché à peine deux jours après avoir commencé."

Je me qualifie comme une touche à tout. Les métiers du commerce et du marketing sont des métiers d'avenir et je me vois bien travailler dans ce domaine plus tard !"

Shanice, qu'est-ce-qui te plaît au C.F.T ?

"Ici, il n'y a pas de barrière entre les stagiaires et les responsables. On se sent intégré à l'équipe comme un véritable collaborateur avec des prises de responsabilités et une autonomie qui permet de développer son potentiel."

 Une nouvelle vision du télémarketing ?

"Je suis d'un naturel assez réservé, et contrairement à ce que je pensais être, téléprospectrice n'est pas si facile. C'est un métier où il faut être autonome, calme et savoir improviser face aux différentes missions qui nous sont confiées. A mon arrivé au C.F.T, j'ai reçu une formation par les fondateurs, Nathalie Ratajczyk et Romuald Sarrazyn, ce qui m'a permis de comprendre la psychologie de la prospection et de prendre confiance en moi : mon interlocuteur n'est pas mon ennemi mais mon allié !"

 A ton avis, quel mot qualifie le plus les métiers du télémarketing ?

"En un mot « Challenge ». C'est un métier qui nécessite une véritable organisation [On est loin de mes premières impressions]. Chaque mission est différente ; il n'y a pas de « fiche type » adaptée à chaque situation. C'est aussi un métier qui a plusieurs visages, je ne fais pas que de la relance client mais également des études de marché ou des démarchages directs. C’est très enrichissant."

Recommanderais-tu ce secteur aux étudiants ?

"Oui, je le recommande aux étudiants, surtout ceux portés vers le commerce mais aussi ceux qui viennent d’autres parcours. Toute expérience est bonne à prendre pour un étudiant. Le télémarketing est une expérience formatrice qui permet de développer ses compétences relationnelles et transversales. On développe de véritables savoir-faire et savoir-être en termes de négociation et de qualité d’échanges avec des interlocuteurs qui sont souvent de hauts dirigeants. Personnellement, j’ai exercé en tant que téléprospectrice spécialisée en prise de rendez-vous qualifié B to B et j’avais souvent affaire à des responsables de grandes structures. C’est une expérience formatrice où j’ai appris à me dépasser."

Petit plus… un conseil, une idée ?

"On sait aujourd’hui qu’un employeur est aussi attentif aux compétences transversales acquises au cours d’expériences professionnelles qu’aux savoirs initiaux. Soyez polyvalent et n’hésitez pas à franchir le pas qui vous mène vers ce secteur. Pour ma part, je me vois parfaitement travailler dans ce domaine."

^{*Langues Etrangères Appliquées}

 Rédacteur : Quentin Debruyne

Co-rédactrice : Nathalie Ratajczyk